Avec la Portugaise Automatic en platine, or rose et acier inoxydable, la nouvelle gamme de grandes montres-bracelets avec mouvement automatique de sept jours est dans sa meilleure forme à ce jour. Cette montre possède tout ce dont une montre de tous les jours pas comme les autres a besoin, y compris une grande date.
Le sujet était dans l'air, au sens le plus vrai du terme. Là où il échauffait les esprits horlogers sous la forme de la Grande Montre d'Aviateur avec mouvement automatique de sept jours, en étant aussi parfois trop grand pour les poignets étroits. Ce bolide entièrement en état de voler, avec son boîtier de 46 mm de diamètre, a désormais atterri – sous la forme de la Portugaise Automatic. Plus légère, plus élégante et aussi nettement plus petite avec son boîtier mesurant 42 mm. Pour être pré-cis: la montre Portugaise d'IWC, une classe à part de montres-bracelets marquantes aux exigences techniques élevées, a trouvé avec la Portugaise Automatic en platine, en or rose et deux fois en acier inoxydable une nouvelle forme optimale ou idéale qui la pré-destine à être la montre inhabituelle pour l'usage quotidien.
Elle a conservé l'attrait classique des ori-ginaux de la Portugaise des années trente, avec ses chiffres arabes appliqués, sa minu-terie en style «chemin de fer» ainsi que ses fines aiguilles en lancette. A cet égard, elle représente aussi un morceau de l'histoire de l'horlogerie. Elle a reçu de l'arsenal de la mécanique de précision d'IWC tout ce qui caractérise une montre-bracelet mécanique moderne. Tout ce qu'elle a de meilleur, à savoir le plus grand mouvement automatique que l'on puisse trouver sur le marché mondial, avec le remontoir Pellaton breveté d'origine, une exclusivité IWC avec date bien lisible, «petite» seconde classique et, en contraste optique, l'affichage de la réserve de marche de sept jours.
Certes, la manufacture IWC développe même encore plus de puissance avec le cal. 50010. Mais lorsque sept jours ou l'équivalent de 168 heures se sont écoulés sans autre ap-port de force, un dispositif technique règle entièrement le moteur à mécanique de préci-sion et l'arrête. En effet, les lois de la phy-sique font que le ressort de traction d'une montre n'apporte plus suffisamment de force sur les roues à la fin de son moment de tor-sion pour garantir une marche toujours stable du mouvement. Cela, les horlogers d'IWC ne voulaient en aucun cas l'imposer aux utilisa-teurs de leurs chronographes.
Malgré ses nombreuses autres moderni-sations dont notamment le verre saphir bom-bé antireflet, le boîtier en deux éléments et le nouveau fond avec filet et verre saphir, la Portugaise Automatic est très proche de l'original qui avait encore été doté pour son voyage dans le temps d'un mouvement de montre de poche IWC de premier ordre.
On pourrait le formuler ainsi: elle est juste-ment la Portugaise qu'IWC construirait au-jourd'hui si l'appel pour une montre-bracelet particulièrement grande et à la marche pré-cise venait à nouveau de Lisbonne et de Porto; une exigence qui est la raison de la création de cette catégorie de montres voici 70 ans. Entre-temps, les quelques Portu-gaises originales conservées sont devenues extrêmement rares et constituent des pièces de collection recherchées – y compris le nouveau tirage limité plus tardif à l'occasion du 125e anniversaire de la fondation d'IWC, en 1993.
La Portugaise Automatic dans les variantes de boîtier platine (limitée à 500 exemplaires), or rose et acier inoxydable – cette dernière en une version avec cadran argenté et aiguil-les bleutées, et une autre avec cadran noir et chiffres et aiguilles rhodiés – est 100% pur «IWC». Ceci est attesté par le poinçon de fabrication «Probus Scafusia» (un produit éprouvé de Schaffhouse) sur le médaillon en or du rotor et sur la couronne. Mais comme on peut le découvrir, les nouvelles «quatre grandes» de la famille des Portugaises sont non seulement le reflet d'un glorieux passé, mais également sa puissante continuation.