Home
MB&F

LM SE Eddy Jaquet 'Le Tour du Monde en 80 Jours'

Matière
Or rose
Bracelet
Cuir
Boucle
Boucle déployante
Cadran
Sous cadrans laqués, cadran gravé main
Etanchéité
30 m
Taille
ø 44.5 mm
Epaisseur
18.2 mm
Mouvement
Mécanique à remontage manuel
Réserve de marche: 72 h, 18000 alt/h
Fonctions
Heures, Minutes, Date, Indicateur de réserve de marche
Echappement séparé, Balancier volant
Référence
04.RL.W3
Lancement
08.2020
Collection
MB&F x Eddy Jaquet / Série limitée à 1 exemplaire
Prix TTC
159’000 CHF
Description

MB&F met en lumière le travail d’un artisan traditionnel, via l’édition limitée LM Split Escapement 'Eddy Jaquet': une série de huit pièces uniques représentatives de l’imagination et du savoir-faire extraordinaires du fameux graveur dans l’illustration des romans de Jules Verne - y compris "Le Tour du Monde en 80 Jours".

Dans le cercle restreint des amateurs de montres signées par des horlogers indépendants, Eddy Jaquet est reconnu comme l’homme qui a l’art de transformer une montre en fresque narrative. Le plus marquant dans le travail du Neuchâtelois, c’est l’intensité de sa portée et de son ambition. Le style est classique, l’exécution des figures humaines fabuleuse.

Les platines-cadrans des pièces LM SE Eddy Jaquet sont inspirées par les histoires de Jules Verne, écrivain français du XIXe siècle largement reconnu comme le principal pionnier de la science-fiction. Pour chaque pièce unique, Eddy Jaquet a lu (ou relu dans certains cas) l’œuvre originale et regardé toutes les créations importantes qui en découlent, notamment les illustrations originales publiées et les films. Il a ensuite créé ses propres esquisses originales sur des modèles de platines-cadrans, en représentant les scènes clés de chaque histoire et, parfois, en conjuguant plusieurs tableaux pour créer une fresque graphique narrative.

Les gravures sont réalisées directement sur la platine du mouvement LM SE, qui fait en même temps office de cadran. Dans certaines parties, la platine-cadran avait 1,15 mm d’épaisseur, ce qui laissait à Eddy Jaquet suffisamment de matière pour graver même en profondeur. Dans trois zones particulièrement vulnérables, il ne disposait que de 0,35 mm d’épaisseur, ce qui l’a obligé à travailler avec une extrême prudence tout en s’assurant que l’esthétique générale de la gravure, très détaillée, ne soit pas compromise.

Pour illustrer au mieux chacune des scènes, Eddy Jaquet a déployé toute la gamme des techniques de gravure et de finition - appliquant aussi à la main par endroits un rhodiage foncé, pour ajuster l'ombre de chaque détail.