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CHOPARD

L.U.C Quattro Mark IV

Boîtier
Platine
Bracelet
Cuir
Boucle
Boucle ardillon
Cadran
Grené bleu ciel
Etanchéité
30 m
Taille
ø 39 mm
Epaisseur
10.40 mm
Mouvement
Mécanique à remontage manuel
Réserve de marche: 216 h, 28800 alt/h
Poinçon de Genève
Fonctions
Heures, Minutes
Petite seconde, Calendrier à aiguille
Référence
161954-9001
Lancement
04.2025
Collection
L.U.C
Prix TTC
45’500 CHF
Description

Après le lancement du premier garde-temps L.U.C Quattro en l’an 2000, Chopard Manufacture célèbre aujourd’hui le 25e anniversaire de son mouvement Quattro par la présentation d’une édition inédite en platine, au boîtier de 39 millimètres de diamètre repensé selon la dernière esthétique L.U.C. Innovation majeure en matière de Haute Horlogerie, la technologie exclusive Chopard Quattro a valu une reconnaissance majeure à la collection L.U.C grâce au premier calibre alimenté par quatre barillets superposés deux à deux et couplés en série – contenant exactement 1,885 mètres de ressorts. Cette configuration offre une exceptionnelle réserve de marche de 216 heures (9 jours), délivrée avec une force constante à l’échappement. La régularité de fonctionnement est garantie par un balancier oscillant au rythme de 28 800 alternances par heure, gage d’une précision certifiée Chronomètre (COSC). La reconnaissance du Poinçon de Genève confirme le raffinement de ce garde-temps L.U.C Quattro - Mark IV, tant du point de vue technique qu’esthétique.

Fabriqué en platine, le boîtier est de forme bassinée : son fond étant plus étroit que sa lunette bombée et polie. De ce profil échancré, fruit d’une démarche de bienfacture inspirée des montres de poche issues de l’héritage créatif de Louis-Ulysse Chopard au XIXe siècle, naît une grande finesse esthétique. Cette nouvelle boîte aux flancs à finition satinée verticale s'allie à une couronne cambrée et cannelée qui, au-delà de son élégance, offre une prise en main agréable. La glace saphir est quant à elle légèrement bombée, épousant parfaitement les courbes de la lunette godronnée en insufflant à la montre un profil arrondi et harmonieux. Autre signe de bienfacture, les cornes sont fabriquées séparément, avant d’être soudées au boîtier, pour un résultat esthétique parfait. Ce garde-temps L.U.C Quattro - Mark IV présente un cadran en laiton à texture grenée, d’une lumineuse teinte bleu ciel. Souligné par des index et des aiguilles en or blanc – dont celles de la petite seconde et du quantième – le design du cadran valorise la clarté et la lisibilité des indications dans un bel exercice de raffinement. Le traditionnel indicateur de réserve de marche, jusqu’à maintenant situé à midi, est déplacé côté mouvement, et visible au dos de la montre. Cet ajustement subtil accentue le sens de l’épure, en permettant de dissimuler la sophistication mécanique derrière une apparence harmonieuse et un agencement intuitif. Un ingénieux système de bracelet interchangeable permet quant à lui de varier les styles avec élégance.

Durabilité

Depuis de nombreuses années, Chopard agit concrètement pour contribuer à façonner une industrie du luxe plus responsable, pleinement consciente de son impact environnemental et de sa responsabilité envers les milliers de personnes impliquées dans ses activités à travers le monde. En tant que membre précurseur d’organisations clés du secteur telles que le Responsible Jewellery Council (RJC), la Maison s’est distinguée par son engagement pionnier en faveur de l’or éthique et du développement du Lucent Steel™, adoptant systématiquement une position proactive dans l’industrie.

L’or, matériau fondamental dans la production de Chopard, est naturellement devenu un axe central du voyage de la Maison vers un luxe durable. En juillet 2018, Chopard a franchi une étape majeure en utilisant exclusivement de l’or éthique dans ses ateliers, répondant aux normes environnementales et sociales internationales les plus strictes. Dans cette démarche, l’or est approvisionné via deux filières transparentes et traçables : de l’or artisanal produit de manière responsable et de l’or recyclé certifié par le RJC. La norme "Chain of Custody" (CoC) du RJC définit les exigences permettant d’identifier et de tracer les matériaux éligibles, y compris l’or recyclé certifié provenant de sources légitimes.

En 2024, l’or éthique de Chopard provenait exclusivement de mines artisanales et à petite échelle accréditées par la Swiss Better Gold Association. L’approvisionnement responsable en or artisanal est essentiel à la stratégie de Chopard, car il permet une traçabilité complète de la mine au produit fini tout en générant un impact socio-économique et environnemental positif et tangible. L’exploitation minière artisanale et à petite échelle implique des millions d’hommes et de femmes à travers le monde — travaillant seuls, en famille ou en coopératives — utilisant des méthodes d’exploration et d’extraction rudimentaires. Depuis 2017, ce programme soutient des méthodes d’extraction à faible impact et a permis d’améliorer les conditions de vie et de travail de plus de 5 000 mineurs et orpailleurs au Pérou et en Colombie. La Maison ne s’approvisionne pas auprès de mines industrielles à grande échelle.

Un objectif clé est de continuer à générer un impact positif au sein des communautés minières artisanales et à petite échelle en contribuant à résoudre les défis locaux liés à l’accès à l’eau, à l’éducation et à l’énergie. Pour ce faire, la Maison collabore étroitement avec des organisations internationales telles que Swiss Better Gold Association, qui s’engagent à aider les mineurs d’or à adopter des pratiques plus responsables sur les plans social et environnemental. La prime versée par Chopard permet de soutenir la transition énergétique, le développement des infrastructures et la création d’opportunités économiques alternatives en parallèle des activités minières.

Depuis 1978, Chopard est l’un des rares fabricants de montres et de bijoux à exploiter sa propre fonderie. Cette approche indépendante permet à la Maison non seulement de garantir l’origine de l’or utilisé dans ses ateliers, mais aussi de refondre en interne les rebuts de production. Ce retraitement direct assure la traçabilité des alliages, évite le raffinage électrochimique, réduit la consommation d’énergie et élimine l’utilisation de produits chimiques. Il permet également de réduire considérablement les émissions liées au transport des matériaux.