King Seko
Réserve de marche: 45 h, 28800 alt/h
La King Seiko KSK de 1965 a été introduite quatre ans après la première série qui, tout comme la Grand Seiko, a démontré la capacité de la manufacture à concevoir des montres mécaniques de haute précision. Avec son boîtier anguleux et sa grande lisibilité, c'est le modèle qui a défini à jamais le caractère de la collection King Seiko.
Coïncidant avec une période d'innovations majeures pour Seiko, tant sur le plan technique qu’esthétique, la King Seiko a posé les bases de la réussite de la maison dans le domaine des montres de prestige. Caractérisée par son étanchéité et sa fonction stop-seconde, la King Seiko KSK était un garde-temps éminemment pratique au quotidien qui a séduit de nombreux adeptes. Depuis 2022, Seiko remet ce style classique sur le devant de la scène avec la collection King Seiko, tout en l'infusant des avancées technologiques de l'horlogerie contemporaine.
Inspirée par la KSK classique, la King Seiko SJE089 est animée par le calibre 6L35, aux finitions exemplaires. Distinguée grâce à son élégant cadran argenté, conçu avec une nouvelle technique de finition soleillée, elle affiche un style plus sobre et délicat que les précédentes KSK tout en restant fidèle au modèle original.
Plus fine que les précédentes montres King Seiko utilisant le mouvement 6L35, elle mesure 0,2 mm de moins que la King Seiko KSK originale, et ce malgré la présence d'un mécanisme de remontage automatique et d'une fenêtre de date. Un nouveau design permis par la conception améliorée du boîtier et par le verre box-shaped, dont la hauteur a été réduite.
Démontrant le savoir-faire traditionnel et la modernité de la marque, les aiguilles des heures et des minutes facettées rendent hommage à l'héritage de King Seiko et font rentrer la collection dans l’ère contemporaine. Le design raffiné du boîtier, avec ses cornes facettées plus fines, se démarque par des surfaces planes et larges ainsi que par des angles saillants. Enfin, les surfaces polies créent une finition miroir sans distorsion créant ainsi un jeu d’ombre et de lumière pour sublimer le cadran.