Catene

La nouvelle montre précieuse pour femme

Cette précieuse création de Bulgari allie simplicité, tradition et élégance. Environ 140 g de chaînons en or rose d’une extraordinaire subtilité viennent prolonger le boîtier en or 18 ct arborant non seulement le double logo BVLGARI sur sa lunette, mais aussi un cadran en nacre orné de 12 diamants taille brillant de 0,133 carats et un cabochon de rubellite soulignant le motif cannelé de la couronne. Cette montre sophistiquée est inspirée de la gourmette, un grand classique revisité et remis au goût du jour par Bulgari. Le bijou qui sublimait les poignets des déesses contemporaines Élizabeth Taylor, Anna Magnani et Grace Kelly revient aujourd'hui sur le devant de la scène sous le nom de BVLGARI BVLGARI Catene. Éternel symbole sentimental, il renaît sous la forme d'une montre-bracelet enveloppante, qui doit son incroyable souplesse à sa structure complexe. L'apparente simplicité de cette montre délicate et élégante dissimule toute la sophistication de son assemblage. Il aura fallu l’immense savoir-faire des orfèvres de Bulgari pour donner vie à un bracelet s’enroulant deux fois autour du poignet dans une étreinte gracieuse. Puisant là encore son inspiration dans l'histoire et l'intemporalité de cet ornement vintage, à la fois classique et original, Bulgari affirme son image de maison hautement inspirée.

BVLGARI BVLGARI Catene se décline en une version semi-pavée, dans laquelle les différents éléments du bracelet en or rose 18 ct sont sertis tour à tour de 60 diamants taille brillant (2,50 ct). Le bracelet est fermé par une triple boucle déployante en or rose 18 ct.

DES CHAÎNES LONGUES DE PLUSIEURS SIÈCLES

Parmi les motifs les plus anciens de la joaillerie, la chaîne remonte aux Sumériens de l'Antiquité qui, déjà en 2500 av. J.-C., transformaient l'or en fines feuilles qu'ils entrelaçaient selon la technique de la « boucle dans la boucle ». Dans la Grèce antique, véritable terre d'origine de Bulgari, les colliers en forme de chaîne étaient très en vogue. Composés de brindilles de rose et de myrte, ils imitaient la légendaire ceinture de Vénus qui lui conférait un irrésistible pouvoir d'attraction. Chez les Romains, la chaîne était ornée d’un médaillon ou d’une pièce de monnaie en or aux allures de pendentif, tandis que chez les  Byzantins, les chaînes en or parées de joyaux étaient très répandues.

À l'époque d'Alexandre le Grand, les mines d'or de Thrace et le trésor dérobé aux Perses ont grandement inspiré les orfèvres, le collier chaîne devenant l'un des principaux signes de richesse et de distinction. Au cours de la Renaissance, il devint à la fois ornement et objet d'échange : chaque chaînon avait la même valeur que la monnaie légale, et pouvait donc être utilisé à cet effet. Un célèbre tableau représente Henri VIII portant une chaîne qui pesait 3 kilos, ponctuée de perles et de rubis. À son instar, les hommes et les femmes posaient pour des peintres, tels que Cranach ou Dürer, chargés de multiples chaînes d'or de toutes formes et longueurs, dans le but d’afficher leur statut social. Des siècles durant, les chaînes précieuses ont continué à dominer la joaillerie, jusqu'à la Révolution française qui a mis un frein à leur production du fait de la nouvelle politique d’austérité. Après la Révolution, les chaînes se sont de nouveau imposées sous la forme de longs sautoirs rehaussés de médaillons ornés d’émaux. Plus tard, aux 18e et 19e siècles, les élégantes chaînes qui permettaient de porter un manchon de fourrure autour du cou ou une montre de gousset sur un gilet ont illustré les nombreuses facettes de cet apparat, qui pouvait aussi se révéler fonctionnel.

LES CHAÎNES BULGARI SERTIES DE PIERRES

Vers le milieu des années 1960, Nicola Bulgari a réinterprété les chaînes traditionnelles en y insérant des pièces de monnaie anciennes, des camées et des intailles, une référence évidente aux racines grecques de la famille Bulgari, venue par la suite s’ancrer à Rome. Ses créations furent acclamées par la haute société de la capitale. Les gourmettes, aux chaînons plats et imbriqués, aux lignes sobres évoquant les cottes de maille des armures médiévales, ont rejoint les articles phare de Bulgari, grâce à ce mélange inédit de motifs traditionnels et d'artisanat d'avant-garde. Merveilleusement élégantes, étonnamment légères et soigneusement travaillées à la main dans les ateliers Bulgari, les chaînes souples étaient si faciles à porter qu'elles ont donné cours aux variations les plus fantaisistes, ponctuées de pièces de monnaie anciennes pour les collections modernes, ou serties de splendides gemmes taille cabochon. Au nombre des admirateurs de Bulgari, Élizabeth Taylor tenait un rôle résolument à part. L'actrice de légende possédait, dans sa fabuleuse collection de bijoux Bulgari, deux colliers avec pendentifs de la Rome impériale ainsi qu'un sautoir orné de six pièces de monnaie byzantines, un magnifique bijou qu'elle a porté lors de l'annonce de ses fiançailles avec l’homme politique John Warner. L'actrice italienne Anna Magnani jouait quant à elle la carte de l’élégance décontractée en portant à son poignet ses six gourmettes Bulgari à la fois. De même, une gourmette en or jaune rehaussée d'une pièce de monnaie en bronze datant du troisième siècle av. J.-C. figurait parmi les pièces favorites d'Andy Warhol, qui avait pour habitude de dire : « La boutique de la Via Condotti abrite la meilleure collection d’art contemporain » un sentiment qui, par ailleurs, subsiste encore aujourd'hui.