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Louis Erard

Le Régulateur Louis Erard x Vianney Halter

Matière
Acier
Bracelet
Cuir
Boucle
Boucle ardillon
Cadran
Argenté, gris mat et noir
Etanchéité
50 m
Taille
ø 42 mm
Epaisseur
12.25 mm
Mouvement
Mécanique à remontage automatique
Réserve de marche: 38 h, 28800 alternances / heures
Fonctions
Heures, Minutes, Secondes
Référence
85237AA51
Lancement
11.2020
Collection
Excellence / Série limitée à 178 exemplaires
Prix TTC
3’500 CHF
Description

Une fois encore, c’était impossible alors Louis Erard l’a fait : un régulateur automatique de collection, en série limitée (178 exemplaires), à 3500 francs.

Cette montre d’exception est une quintessence, née de la rencontre de deux mondes. Celui de Vianney Halter, qui a retrouvé les racines de son style, tout à la fois classique et ultra-contemporain, et en a retenu l’essentiel. Celui de Louis Erard, qui s’est mis au service de l’horloger et l’a mis au défi de dessiner une pièce pour le grand public, pour la première fois de sa carrière. Une pièce qui ne soit pas seulement une réduction ou une simplification du style si sophistiqué de Vianney Halter, mais véritablement une réinterprétation de sa philosophie de l’horlogerie. Pour l’horloger, sortir de sa zone de création habituelle était un défi de taille : « Je voulais voir si j’étais capable de m’adresser à tous ceux qui aiment mes montres sans pouvoir se les offrir. Louis Erard m’a permis de le faire en restant authentique. »

Il a pensé cette création comme un retour aux sources, aux sources de l’histoire de l’horlogerie et aux sources de son propre style. Son point de départ est dans la mécanique, dans le régulateur, cette complication centrale dans l’histoire de Louis Erard, qui ramène invariablement aux pendules de précision du 19e siècle, aux horloges mères des observatoires, au temps où la montre ne devait pas simplement être belle, mais remplir sa fonction fondamentale : permettre la lecture du temps.

Dans son style bien à lui, que Vianney Halter nomme « futur antérieur » – autrement dit : que serait les montres du 19e siècle si elles étaient créées dans le futur ? – l’horloger a commencé par sculpter le cadran, afin de donner de la profondeur à chacun des trois compteurs. Puis il a taillé les aiguilles en acier bleui, une première pour Louis Erard. La minute est indiquée par une longue aiguille plume : finesse de l’indication finale, mais belle présence au centre. Les heures sont aussi indiquées par une aiguille plume, mais trapue, pour accrocher l’œil avant les autres. La seconde est simplement équilibrée, avec son contrepoids, pour ne pas en perturber la marche.

Et si le résultat final paraît très classique, il ne l’est pas : il s’agit bien d’une montre contemporaine, qui n’aurait jamais pu exister dans le passé. Avec la touche inimitable de ce créateur hors pair qu’est Vianney Halter – qui y a ajouté un dernier clin d’œil : la couronne crénelée, comme celle de son « Antiqua ».

Louis Erard démontre une fois encore qu’il est possible de traduire les codes et la bienfacture de la haute horlogerie dans une montre accessible. Et d’autres créations suivront. Avec d’autres créateurs invités. Toujours en série limitée de 178 exemplaires, un nombre symbole qui signifie qu’ensemble on est plus forts.